Général

2ème publication sur la parentalité positive

  1. Le chemin vers la parentalité positive

Il s’agit d’un cheminement qui propose notamment de:

  • Prendre conscience :
    • de nos blessures d’enfants en tant parents, afin d’éviter de reproduire certains modèles parentaux reçus ;
    • de l’impact de nos comportements et des mots que nous employons, les étiquettes et croyances que nous leur collons sur les comportements de nos enfants.
  • Adapter nos exigences aux besoins et aux compétences de l’enfant, en fonction de son stade de développement.
  • Assurer à l’enfant un milieu sécurisant et stimulant ainsi qu’un environnement d’apprentissage positif à travers :
    • de nouvelles façons de réagir et d’exprimer nos propres pensées et sentiments ;
    • L’adoption  de nouveaux comportements, plus positifs et qui respectent l’enfant, en accueillant ses émotions et en facilitant l’expression de ses besoins, en sachant poser des limites appropriées dans le respect et la responsabilité, en l’aidant à développer plus d’autonomie, etc.

Bref, il s’agit, à travers la mise en place d’une parentalité positive, de travailler à une meilleure conscience et connaissance de soi, pour mettre en place de nouvelles compétences parentales, pour une relation plus harmonieuse et constructive avec les enfants. Il ne s’agit pas cependant de chercher à devenir des parents parfaits qui, par principe, n’existent pas.

  1. Les principes fondamentaux de la parentalité positive

Cinq principes fondamentaux guident une parentalité positive :

  1. Une éducation affective et émotionnelle qui répond aux besoins affectifs

fondamentaux des enfants.

  • C-  Une reconnaissance en tant que personnes à part entière des enfants à travers une écoute empathique, un droit à l’expression émotionnelle et un amour inconditionnel.
  • D-  Une autonomisation progressive via des libertés et des droits qui permettent de renforcer chez les enfants le sentiment personnel de compétence et de pouvoir personnel.
  • E- Une éducation non violente excluant tout châtiment corporel (fessée, gifle, isolement…) ou psychologiquement humiliant (chantage, menace, moquerie, privation, cris, mensonge…). 
  • ……….. A la prochaine publication